Au crépuscule de sa longue carrière, Aboubacar Soumah n’a pas pris du plomb dans la tête. Le patron du Syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée (SLECG 2) glisse dans la poubelle.
Pour gagner son combat contre ses grands rivaux de l’Education, l’enseignant de Château d’eau à Kaloum est prêt à donner des coups dans les pagnes et en bas de la ceinture.
Suite à une correspondance de l’Internationale de l’Education (EI) qui déclare le SLECG qu’il dirige de ‘’dissident’’, le syndicaliste a complètement pété les plombs et s’en est pris à la pauvre Kadiatou Bah de l’autre SLECG, traitant la mère de famille de tous les noms.
Soumah – ‘’le chauve’’, généralement intelligent- pour se relever du coup fatal qu’il a reçu de l’EI s’aventure dans l’intimité de la dame.
Notre Soumah national que l’opinion donnait pour peu lucide est désormais un homme traqué prêt à tout pour se maintenir.
Ce détraqué, pour reprendre le terme d’un de ses détracteurs, a-t-il mesuré les conséquences de ses propos dans un organe de la place sur la progéniture de la dame ? Sait-il déjà que les enfants de cette dame qui n’ont rien à voir avec sa lutte traîneront cette « bosse » pour le reste de leur vie ? Aboubacar Soumah est un homme léger. Le mot n’est pas fort.
Noumoukè S.