Oumar Tounkara du SLECG invite le chef de l’Etat à ’’trouver quelque chose par rapport aux 8 millions’’
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Apparemment, le Syndicat libre des enseignants et chercheurs de Guinée (SLECG) a le dos au mur. Face à un gouvernement ferme, les négociations piétinent. Oumar Tounkara, vice-président du SLECG a fait mercredi un appel du pied à l’endroit du chef de l’Etat afin qu’il intercède en faveur des enseignants pour trouver quelque chose par rapport aux huit millions. Réaction…
«A la lumière des déclarations des uns et des autres, le SLECG est disposé au dialogue pour une sortie de ce climat délétère. Mais nous pensons que l’équipe gouvernementale que nous avons devant nous, n’a pas la qualité de trouver la solution. L’école est un sujet très sensible qui intéresse toute la communauté. Le SLECG est conscient de l’importance de l’école dans la vie d’une nation. Conscient de l’enjeu et des effets collatéraux liés à cette grève qui commence à prendre du temps, nous demandons au président de l’Assemblée nationale, à la Première Dame de la République de Guinée, à la présidente du CES (Conseil Economique et Social), aux quatre coordinations régionales de la Guinée (Basse Côte, Moyenne Guinée, Haute Guinée et de la Guinée Forestière), au Médiateur de la République, au Conseiller personnel du chef de l’Etat Tibou Kamara, aux signataires du protocole du 13 mars 2018 dernier, aux femmes de la Mano River Union, à l’Association des Etudiants et Elèves de Guinée, A la Fédération Guinéenne des Parents d’Elèves et Amis de l’Ecole (FEGUIPAE) et à tous les hommes de bonne foi de s’associer au Bureau exécutif du SLECG pour demander au président de la République, en tant que garant de la paix, de la justice, du développement et également père de la nation guinéenne, de bien vouloir s’impliquer personnellement pour trouver quelque chose par rapport aux huit millions que nous demandons comme salaire de base des enseignants. Nous lui demandons humblement et c’est le meilleur cadeau qu’il puisse nous donner en cette fin d’année 2018».
Mediaguinee
Vous auriez dû commencé par cette doléance au lieu de se mettre en grève. maintenant que le ton est durcit il est difficile de vous écouter.
Et surtout le gouvernement doit être intraitable sur les salaires à la fin du mois!
Tous ces plaisantins qui se sont absentés ne doivent jamais être payés.
MANZO ils n’auront aucun salaire ceux qui étaient absents. Maintenant ils mendient car ils sont en perdition et certainement beaucoup regrette s’être unis à Soumah en punissant les élèves avec les grèves. Maintenant élèves parents d’élèves et le gouvernement ne supportent plus ce syndicat. Ils ont perdu toute crédibilité. Bien fait pour eux. Ils ont trop fait
Ah les enseignants qui suive soumah et tounkara sont perdent pour quoi opposition vas donné l’argent l’argent soumah et complis mais pas vous maintenant ils ont perduré un patriotes ne perd jamais voici la vérité triomphe toujours si vous commence cette doléance au paravant Mr le président Alpha condé que je connais ils vas faire quelque chose à toute les fonctionnaires maintenant trop tard Mr tounkara quand tu es devant les gens ils faut être honnête vous prenez l’argent à l’autre côté et dire l’autre côté autrement le tout puissant Allah ne dormais jamais