« Pas un centime » d’argent libyen: Nicolas Sarkozy a juré pour sa première prise de parole devant le tribunal au procès des soupçons de financement libyen de sa campagne 2007 qu’il n’avait « rien » à se reprocher, et qu’il n’y avait « rien » dans le dossier.
Premier à prendre la parole à la barre, l’ancien président commence par déclamer, solennel: « Dix années de calomnie, 48 heures de garde à vue, 60 heures d’interrogatoire ».