Charles Wright : « j’ai eu des aventures avec la journaliste Aminata dans les conditions que seul Dieu peut décrire »
« Une dame journaliste du nom de Aminata Conté, elle dit qu’elle est chargée de la couverture au niveau du département de la Justice, elle travaillait avec moi et avec les autres journalistes. J’ai eu des aventures dans les conditions que seul Dieu peut décrire mais quand j’ai vu l’intention qu’elle avait j’ai stoppé tout. C’est quand on vous dit je veux aller au Canada, je veux ouvrir un site, je veux faire ceci, ah non, non, j’ai tout stoppé tout de suite. Mais le fait que j’ai tout stoppé ah, non, non, non!! »
« Ma secrétaire m’a appelé : M. le ministre cette dame là elle ne fait que des scandales ici je n’ai pas compris mais elle dit qu’elle veut voyager. J’ai dit je ne veux pas la voir ici, elle vient dans le cadre professionnel, elle reste dans ce cadre, mais elle dit qu’elle veut voyager, je dis non. Alors pour des raisons humanitaires voyez ce que vous pouvez faire au moins pour qu’elle puisse se soigner (…) J’ai dit à un ami qui travaille avec moi Fodé, je lui ai dit, d’abord tous ses documents médicaux, il faut me les envoyer, ah non!! Envoie-moi tes documents médicaux au moins, elle a tourné, tourné, jusqu’à date je n’ai pas vu ça », raconte Alphonse Charles Wright.
Et ce Monsieur était ministre d’état de la justice, pauvre Guinée…
Ce pays est loin de sortir de son<>
De son coma profond