Le 18 décembre dernier, le dicastère pour la doctrine de la foi, a publié un document de huit pages en plusieurs langues, donnant voie libre à la bénédiction, par des prêtres, de couples « irréguliers » aux yeux de l’Église. En Afrique, ladite décision suscite assez de débats dans les cercles chrétiens, même si l’Afrique du Sud fait exception à cette règle. Cependant, des pays comme le Soudan, la Somalie ou encore la Mauritanie, les relations homosexuelles sont passibles de la peine de mort. D’où l’opposition farouche des prêtres Africains, réunis autour de la Conférence Épiscopale d’Afrique et de Madagascar (SCEAM).
Le 18 décembre dernier, le dicastère pour la doctrine de la foi, a publié un document de huit pages en plusieurs langues, donnant voie libre à la bénédiction, par des prêtres, de couples « irréguliers » aux yeux de l’Église. En Afrique, ladite décision suscite assez de débats dans les cercles chrétiens, même si l’Afrique du Sud fait exception à cette règle. Cependant, des pays comme le Soudan, la Somalie ou encore la Mauritanie, les relations homosexuelles sont passibles de la peine de mort. D’où l’opposition farouche des prêtres Africains, réunis autour de la Conférence Épiscopale d’Afrique et de Madagascar (SCEAM).