La répression de la marche pacifique des membres du Syndicat de la Presse Privée de la Guinée (SPPG) lundi à Kaloum continue de susciter des réactions.
Depuis l’étranger, Sidya Touré, le président de l’union des forces républicaines (UFR) indique que la violence proférée contre les hommes de média suivie de l’arrestation d’une dizaine d’entre eux.
« Nous nous sommes battus en 2005 pour faire de la liberté de la presse, une réalité en Guinée. Il ne saurait avoir une véritable Démocratie sans une presse libre. La violence proférée, ce lundi, contre des journalistes suivie de l’arrestation de 14 d’entre eux, est un recul », a écrit Sidya Touré sur Twitter.
Dans la soirée du lundi 16 octobre, les journalistes arrêtés ont été mis à la disposition de leurs avocats en attendant leur procès.
Mamadou Ba