En une décennie, Evo Morales a rendu à la Bolivie toute sa fierté, pays jadis misérable de l’Amérique latine. Mais les multinationales, bloquées dans leurs intérêts ont sous le mince vernis de la démocratie manipulé les urbains pour casser un développement bien parti. Pensant s’installer confortablement dans les sièges laissés par les partants, les opposants téléguidés se retrouvent face à une autre situation délicate : la révolte des ruraux, les plus nombreux. Et depuis hier, nul n’est épargné dans cet Etat majoritairement à gauche. Jusqu’où ira la Bolivie ? Ci-dessous, La Paz (capitale) sous Morales…
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