Le leader du SLECG Aboubacar Soumah n’aurait (peut-être) pas eu la vie sauve s’il n’avait pas détalé à toutes jambes. Les accrochages physiques entre les camps d’Abdoulaye Sow et d’Abdoulaye Camara – tous se réclamant leaders de l’USTG- ont tourné à l’avantage du second qui dit avoir été violé dans ses propres installations. Le 1er mai dernier, voulant forcer l’entrée du palais du peuple, le syndicaliste -dont les photos circulent abondamment sur la toile- a fini par se rendre à l’évidence que le monde syndical est un panier de crabes. Son talent de super coureur l’a sauvé des griffes de ses rivaux…
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