PADEV 2017 : Aboubacar Makhissa Camara sacré ‘’meilleur gestionnaire africain des régies financières d’Etat’’
Aux âmes bien nées, la valeur n’attend point le nombre des années, disait Pierre Corneille. Cette citation colle bien à Aboubacar Makhissa Camara, jeune directeur national des Impôts qui vient d’être distingué ‘’meilleur gestionnaire africain des régies financières d’Etat’’. Véritable loup de mer qui fait chemin avec sérieux, travail, compétence et loyauté, Makhissa doit son couronnement à la touche qu’il a apportée aux Impôts en République de Guinée.
Ce prix africain de développement (PADEV), initié en 2006 par des organisations de la société civile de douze pays africains dont la fondation 225 (Burkina Faso) et SAFAM COM international (Côte d’Ivoire), vise à instaurer une culture de travail, du mérite et de l’excellence comme valeurs cardinales de la société africaine.
Selon nos informations, cette distinction est décernée chaque année à des personnes physiques et morales dont les œuvres dans leurs secteurs d’activité respectifs, par leur qualité et leur impact, constituent des modèles de contribution au développement qui doivent en inspirer d’autres.
‘’Ce mérite est également reconnu à celles qui œuvrent à la construction d’Etats africains démocratiques et de paix’’, lit-on dans la correspondance adressée au lauréat 2017.
Dans le courrier adressé à Makhissa dont MEDIAGUINEE détient copie, le président de la fondation 225 Kiffi Kouadio a indiqué ‘’qu’en tant que tel Monsieur le Directeur National des Impôts, suivant délibérations du jury du prix PADEV, vous avez été distingué meilleur gestionnaire africain des régies financières d’Etat. Vos judicieuses réformes, portées par l’équipe consciencieuse et déterminée qui vous entoure, qui ont optimisé le recouvrement fiscal en Guinée, vous ont valu cette consécration.’’
La remise solennelle baptisée ‘’PADEV Casablanca 2017’’ du trophée aura lieu du 27 au 29 octobre prochain au Maroc. Elle regroupera les autorités politiques, diplomates, opérateurs économiques, société civile, décideurs et les médias. Sacré, Makhissa !!!
Youssouf Keïta