“Président Doumbouya très déçu de certains hommes de médias“ selon le PM Bah Oury
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Suite au courrier de la Maison de la presse adressé au président de la transition le général Mamadi Doumbouya pour une audience, le Premier ministre a reçu jeudi au palais de la Colombe les Associations de presse pour échanger autour de la situation difficile des médias en Guinée.
Le chef du gouvernement Amadou Oury Bah, cité par le journal en ligne Infochrono, a renseigné sur sa rencontre avec Reporters sans frontières (rsf), la HAC (Haute Autorité de la Communication) et le Président de la transition.
« Bah Oury a expliqué aux responsables des associations de presse que le Président était très déçu du comportement de certains hommes de médias pour lesquels, il fait beaucoup de chose », écrit Infochrono.
Malgré cet état de fait, poursuit le site guinéen, le PM, dit que le Président lui a donné carte blanche d’agir.
A en croire le journal, « Bah Oury a sollicité auprès des professionnels du micro, le respect de l’éthique et la déontologie à travers la mise en place du tribunal des pairs ».
Le Premier ministre a demandé aux associations de presse de lui faire parvenir le document actualisé des engagements pris par les journalistes dans le cadre du respect de l’éthique et de la déontologie, fait noter le média.
Ousmane CAMARA
C’est tellement minable.
Un vulgaire putschiste sanguinaire que personne n’a élu se voit affabulé du titre de “Président” par un individu sans personalité qui a vendu son âme au diable. Piteux.
Je ne reconnais jamais ce putshiste de bah oury comme premier ministre de la Guinée.
Dieu qu’un violent coup d’état s’abatte sur ces mercenaires.
il me semble que Bah Oury ait déçu les attentes du peuple et continuera à s’éloigner des idéaux initialement défendus. Un opportuniste comme tant d’autre dans le rang de ce que l’on considérait comme leaders. Il a fait allégeance à Doumbia, son travail de sape sera son seul apport au sein de ce gouvernement. il ne faut plus douter de sa transition vers ce régime répressif.
Bref, je n’arrive pas à cerner ce monde journalistique qui ne cherche pas à comprendre ce que ce gouvernement leur réserve dans le futur. La privation de liberté d’expression et la répression des médias ne suffisent à ces putschistes, ce qui est plus alarmant, c’est qu’ils optent sur la disparation pure et simple des médias qui continuent à faire convenablement leur travail. Ils ne veulent pas de la presse au service du peuple.
Dans de telles circonstances. , il me semble cette entrevue avec Mr Bah pour discuter des droits des journalistes peut sembler une tentative infructueuse pour trouver un compromis, mais cela pourrait également être interprété comme une forme de légitimation de OURY et de son gouvernement répressif.