« Ici , on n’a pas assez de moyens. Nous sommes exposés sur le terrain. On n’a pas d’équipement digne de nom. Les gens vont sur le terrain, pas d’arme. Les agents vont sur le terrain ils n’ont même pas de gilets par balle, ils n’ont même pas de Talkie. Ils restent à pourchasser les braconniers parfois ils se perdent en brousse. Nous sollicitons l’appui de l’Etat et des partenaires à ce niveau… ».
« Nous avons été mis aux arrêts par les eco-gardes parce que nous avons violé la loi. Nous avons mené des opérations de braconnage dans le parc. On s’était divisés en deux groupes. Chacun est resté sur une rive mais on avait dit à nos amis de ne pas durer pour éviter d’être interpellés par ces agents. Quand ils nous ont appréhendés, ils nous ont dit d’attendre qu’au retour qu’ on va négocier. Mais après un temps, nous avons une équipe très puissante que la première. C’est ainsi qu’ils nous ont envoyés ici. Nous regrettons notre acte ».