Concours d’accès aux écoles techniques : environ 25 mille candidats soumis aux évaluations
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Le département de l’Enseignement Technique de la Formation Professionnelle et de l’Emploi, a procédé au lancement officiel des épreuves du concours d’accès aux écoles professionnelles. Pour cette année, ils sont environ 25.000 candidats a affronté ces épreuves dans les filières comme l’ENAM, la santé et autres. Ces candidats du type A et B, composeront durant une semaine sur toute l’étendue du territoire national.
« Nous faisons en sorte que les futurs ouvriers qui sont en train de passer les examens puissent participer activement et efficacement au processus de développement de l’économie nationale. Il y a plus de 120.000 emplois qui sont attendus et comment nous allons pouvoir combler ce déficit si on ne forme pas les ouvriers qualifiés capable de répondre au besoin des entreprises minières impliquées par exemple dans le cadre du projet Simandou et tant d’autres. Alors c’est dans l’esprit d’avoir de la qualité au niveau du ministère de l’enseignement technique que nous avons exigé certain nombre de rigueurs pour que ceux qui auront ce concours puissent avoir un cursus leur permettant efficacement de renforcer leurs capacités, mais être également utile pour le développement de l’économie nationale », a signifié le Secrétaire général dudit ministère, Dr Youssouf Boundou Sylla.
Ces épreuves lancées au lycée 1er mars situé, dans la Commune de Matam, vont se déroulent pendant une semaine sur toute l’étendue du territoire national. Ce concours selon le chef service examen au ministère de l’enseignement techniques va s’effectuer en deux volets.
« Dans les régions administratives vous avez le type A et le type B dans les préfectures. Les écoles de type A, c’est-à-dire les candidats qui ont le BEPC et au niveau de la région les candidats qui ont non seulement le BEPC mais ceux qui ont le BAC. Quant à l’organisation, sur toute l’étendue du territoire, toutes les dispositions sont prises par le ministère pour en finir avec ce concours dans de meilleures conditions », a rassuré Sékou II Camara.
Il faut noter que c’est la filière ENAM qui a donné le coup d’envoi pour la région de Conakry. Ils sont plus de 600 candidats a passé ces épreuves, dans 9 salles, supervisés par 37 surveillants.
Sâa Robert Koundouno
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