Ça y est. Le président de l’Union Nationale des Orpailleurs de Guinée (UNOG), Elhadj Tidiane Koita sera candidat pour un second mandat. Il a fait acte de candidature ce lundi 24 juillet 2023 pour cette élection prévue pour le 20 août prochain, dans un réceptif hôtelier de la place.
Après avoir déposé sa candidature auprès du secrétariat de l’organisation, le président sortant de l’UNOG et également président de la Fondation Tidiane Koïta pour l’Aide et le Développement (FOTIKAD) est revenu sur quelques efforts consentis par son équipe dans l’intérêt général du peuple de Guinée.
« Depuis notre arrivée à la tête de cette organisation, nous avons fourni beaucoup d’efforts qui nous permettent aujourd’hui de continuer l’aventure pour donner le meilleur de nous-mêmes à notre organisation. Nous avons réussi à placer notre organisation sur l’échiquier national et international. Je demande à tout un chacun le fair-play, l’union et la fraternité pour garantir un avenir meilleur à notre organisation », dira-t-il entre autres.
Plus loin, il fera savoir que l’élan déjà amorcé par leur organisation commune sera préservé et que les uns et les autres peuvent déjà s’attendre à d’autres actions plus fortes et plus avantageuses pour les Guinéens, si toutefois il arrivait à être reconduit par les électeurs.
De son côté, le secrétaire permanant de l’organisation (UNOG), Sékou Soumaoro est revenu les conditions qui permettent d’être candidat pour la présidence de l’ONOG. A l’en croire, selon le statut de l’institution, pour être candidat, il faut être membre de l’UNOG, avoir la carte de membre, s’acquitter des droits et taxes de l’administration minière parmi tant d’autres.
« Pour le moment, les dossiers fournis par le candidat El hadj Tidiane Koïta sont en conformité avec les dossiers demandés. Mais il y a une commission qui doit statuer sur les candidatures. E c’est à elle de valider ou non la candidature d’un candidat. Pour le dépôt des candidatures, un délai de deux semaines a été accordé à tout les postulants. C’est–à–dire 15 jours ouvrables et il sera suivi par le dépouillement », a-t-il martelé.
Youssouf Keita