CNT/ Israël KPOGOMOU cogne sur Charles Wright : « il est en train de mener sa propre transition dans cette transition»
Obtenez des mises à jour en temps réel directement sur votre appareil, abonnez-vous maintenant.
« L’AMG dénonce l’attitude du ministre garde des sceaux qui est en train de mener sa propre transition dans cette transition, avec la théâtralisation, la désacralisation, la banalisation et l’instrumentalisation de la justice à travers des actes qui sont contraires au discours de prise de pouvoir par le CNRD. Des publications intempestives des actes de poursuites en occurrence des injonctions ainsi que des actes administratifs en occurrence des arrêtés de suspension des magistrats sur les réseaux sociaux au mépris de la loi, la volonté de traumatiser les magistrats, de les humilier et de les soumettre tous les coups constituent aujourd’hui des indicateurs sérieux qui doivent alerter les autorités de la transition sur la volonté du garde des sceaux, de réécrire l’histoire de la justice guinéenne. L’AMG dénonce les persécutions, les menaces et les chantages effectués contre les magistrats par le garde des sceaux et interpelle déférence les autorités de la transition, sur l’atmosphère délétère et le malaise profond qui règne actuellement au sein de la justice guinéennes. L’AMG, préoccupée par le silence coupable des institutions de la République en particulier le CNT, dont le président a été un acteur important de l’adoption de la loi 054 portant statut des magistrats, interpelle respectueusement ce dernier à œuvrer aux côtés de Monsieur le président de la transition, pour sauver la justice qui est actuellement au bord du gouffre. (…)», a-t-il indiqué.
CHARLES, les gens ne vont pas continuellement à te soutenir si tu continues à ignorer ceux qui sont en charge d’améliorer l’activité judiciaire du pays. La place occupée n’est pas octroyée en fonction de la valeur des connaissances, bien de magistrats ont la maitrise de leur métier. Il est absurde d’ignorer que bon nombre parmi eux peuvent mieux exercer cette fonction que tu occupes actuellement.
je suis sidéré de constater que pour toi les droits de l’homme est subordonné à autre chose et qu’il faille fonder le droit par la force.