Après avoir tenu des propos jugés inadmissibles pouvant compromettre la quiétude dans la ville, le préfet de N’zérékoré essuie de nombreuses critiques de la part des associations de défense de droit de l’homme.
Depuis quelques temps, les relations sont tendues entre le préfet Sory Sanoh et les opposants contre une nouvelle constitution dans la principale ville de la Guinée forestière.
Ces derniers l’accusent d’avoir tenu récemment des menaces envers les fils de la localité.
Tout a commencé récemment quand sory Sanoh avait déclaré que tout ce que le président dit qu’il a ses raisons.
Et plus loin il dira ceci : « même si le président dit d’égorger quelqu’un qui il ne fera que l’appuyer ».
Des propos que dénoncent les secrétaires généraux des jeunesse de la préfecture de N’zérékoré qui demandent le départ du préfet à travers une lettre qu’ils ont adressée au gouverneur. Ce dernier qui a accusé réception de la lettre et les a invités à une réunion, ce jeudi.
Amara Soura Soumaoro, correspondant à N’zérékoré