Tout porte à le croire. Au-delà des griefs qu’ils ont contre le pouvoir sur les droits de l’homme, les opposants guinéens ne veulent pas rater le train des élections législatives qui pourraient se tenir fin mars en Guinée. Depuis Abuja, Ousmane Kaba du Pades l’a confirmé…
« Le rapport que les experts de la CEDEAO ont déposé devant la cour de justice de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) a confirmé comme l’OIF que le fichier électoral guinéen est corrompu.
Cela suppose a posteriori que le FNDC avait raison. Il devient évident que le gouvernement ne pourra plus progresser avec son processus électoral sans inclure tous les partis de l’opposition.
A l’ouverture du procès ce 12 mars, les avocats des deux partis (Gouvernement et FNDC) ont eu l’opportunité de s’exprimer et donc la cour a donné rendez-vous pour mise en délibéré le 19 mars 2020 prochain », écrit-il sur son compte Facebook.
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