L’artiste et activiste sénégalo-guinéen Jah Kara (Karamoko Sylla à l’état civil) vit un moment pénible de sa vie. Emprisonné à la maison centrale de Conakry récemment pour trouble à l’ordre public lors de la marche contre le changement de constitution, Jah Kara apprend que sa génitrice est décédée. Pis, il n’assistera pas à l’inhumation de sa mère.
« Je suis abattu aujourd’hui, la seule personne que j’aime vient de décéder, ma mère Hadja M’mah Bangoura. Que Dieu l’accueille dans son paradis. Amine ! », écrit-il sur sa page Facebook.
Elisa CAMARA