Dansa Kourouma met en garde contre ceux qui lui prêtent des propos qu’il n’a pas tenus (Mise au point)

Le leader du Conseil national des organisations de la Société civile de Guinée (CNOSCG) a mis en garde jeudi contre ceux qui lui prêtent des propos qu’il n’a pas tenus sur Mediaguinee à propos de la marche organisée par la Cellule Balai citoyen pour le retour de Kèlèfa Sall à la tête de la Cour constitutionnelle. Réaction…

“D’abord je tiens à informer l’opinion nationale et internationale que les propos qui me sont attribués sur les réseaux sociaux et qui seraient selon leurs auteurs publiés par Médiaguinée sont faux. D’abord, mon intervention sur Médiaguinée (voir l’article sur www.mediaguinee.com) ne dépasse pas deux phrases. J’ai juste dit à Médiaguinée que je ne serai pas présent au sit-in mais le CNOSC-G soutient toutes les initiatives de respect de la constitution et des lois de la République, c’est la seule phrase et c’est très clair sur Médiaguinée. Donc si les communicants de partis politiques en manque de repère ou d’autres personnes mal intentionnées ont pris des propos qui sont dits par un autre acteur de la société civile pour me les attribuer dans le seul but d’atteindre à ma réputation, tirent à terre. Donc je demande à tous ceux qui croient en la société civile, le CNOSC-G est la première plateforme de la société civile, on ne peut pas être dans une dynamique de violation de la loi, on ne peut pas soutenir un mouvement de violation de la constitution. Une fois encore, le CNOSC-G réaffirme son soutien à tout ceux qui se battent pour le respect de la loi et pour le respect de la constitution dans notre pays. Et pour ces communicants mercenaires payés pour faire véhiculer de fausses informations sur les réseaux sociaux, nous les mettons en garde. La communication du CNOSC-G se fera sur la base de sa page Facebook et sur la base des personnes qui sont fondées de pouvoir. Toute autre communication attribuée par un site ou attribuée par des personnes physiques sont de la diffamation et de la manipulation. Et il ne revient pas à la mouvance présidentielle ou à un parti politique quelconque de communiquer pour la société civile. Une fois encore nous leur lançons un dernier avertissement ».

Dansa Kourouma