La distribution alternée de l’eau à Ouagadougou a démarré ce mercredi
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La distribution alternée de l’eau dans la capitale burkinabè, annoncée lors du dernier conseil des ministres, a débuté ce mercredi, a-t-on appris auprès de l’Office national de l’eau et de l’assainissement (ONEA) qui a animé, ce jour même, à Ouagadougou, une conférence de presse à ce sujet.
A cette occasion, le Directeur général (DG) de l’ONEA, Hamado Ouédraogo, a expliqué que la raison principale de cette distribution alternée est la forte dégradation, ces dernières semaines, de la desserte en eau de la capitale.
Il a expliqué à ce propos que le déficit journalier est ainsi passé de 48 000 m3 au début de la période chaude (mars à juin), à 70 000 m3 en moyenne (de nos jours), soit un accroissement de 48%.
La distribution alternée ordonnée par le gouvernement en Conseil des ministres consiste, selon Hamado Ouédraogo, à organiser une distribution tournante par zone suivant des plages horaires définies.
Il a précisé que les zones et les quartiers de Ouagadougou ont été répartis en 23 groupes.
Chacun de ces groupes devrait disposer, en principe, de l’eau courante pendant au moins 12 heures soit dans la journée (6h à 16h par exemple), soit une bonne partie de la journée et de la nuit (9h à 21h, 11h à 23h par exemple) ou bien l’inverse (21h à 9h, 23h à 11h par exemple).
Aux dires de M. Ouédraogo, le programme sera suivi quotidiennement par des équipes sur 15 jours, avant d’être évalué, adapté et amélioré si nécessaire.
L’eau potable qui dessert la ville de Ouagadougou et ses environs est issue des barrages de Ziga (200 millions de mètres cubes), de Loumbila (42 millions de mètres cubes) et de Ouaga 3 (6 millions de mètres cubes).
Cette eau est traitée par deux stations à savoir celle de Ziga qui a une capacité de traitement de 108 000 m3/jour et celle de Paspanga avec une capacité de 48 000 m3/jour.
En plus de l’eau issue des barrages, la capitale burkinabè bénéficie de 47 forages dont l’exploitation injecte 8 735 m3/jour dans le réseau de distribution.
A cette occasion, le Directeur général (DG) de l’ONEA, Hamado Ouédraogo, a expliqué que la raison principale de cette distribution alternée est la forte dégradation, ces dernières semaines, de la desserte en eau de la capitale.
Il a expliqué à ce propos que le déficit journalier est ainsi passé de 48 000 m3 au début de la période chaude (mars à juin), à 70 000 m3 en moyenne (de nos jours), soit un accroissement de 48%.
La distribution alternée ordonnée par le gouvernement en Conseil des ministres consiste, selon Hamado Ouédraogo, à organiser une distribution tournante par zone suivant des plages horaires définies.
Il a précisé que les zones et les quartiers de Ouagadougou ont été répartis en 23 groupes.
Chacun de ces groupes devrait disposer, en principe, de l’eau courante pendant au moins 12 heures soit dans la journée (6h à 16h par exemple), soit une bonne partie de la journée et de la nuit (9h à 21h, 11h à 23h par exemple) ou bien l’inverse (21h à 9h, 23h à 11h par exemple).
Aux dires de M. Ouédraogo, le programme sera suivi quotidiennement par des équipes sur 15 jours, avant d’être évalué, adapté et amélioré si nécessaire.
L’eau potable qui dessert la ville de Ouagadougou et ses environs est issue des barrages de Ziga (200 millions de mètres cubes), de Loumbila (42 millions de mètres cubes) et de Ouaga 3 (6 millions de mètres cubes).
Cette eau est traitée par deux stations à savoir celle de Ziga qui a une capacité de traitement de 108 000 m3/jour et celle de Paspanga avec une capacité de 48 000 m3/jour.
En plus de l’eau issue des barrages, la capitale burkinabè bénéficie de 47 forages dont l’exploitation injecte 8 735 m3/jour dans le réseau de distribution.
APA