Dixinn : la ministre Louopou Lamah lance la première épreuve du BEPC

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Les portes et fenêtres de l’examen d’entrée en 7è année se sont fermées mercredi dernier. Ce vendredi 9 juin 2023, ce sont celles du Brevet d’Étude du Premier Cycle (BEPC) qui sont ouvertes sur toute l’étendue du territoire national.

Dans la Commune de Dixinn, les nouvelles autorités à travers la ministre du Commerce, d’Industrie et des PME ont lancé à l’école primaire Dixinn centre 1, ces épreuves au compte des évaluations finales pour les 3011 candidats dont 1217 filles pour l’enseignement général et 108 candidats au niveau de Franco Arabe.

Accompagnée de ses homologues Mamadou Nagnalen Barry et Dr Diaka Sidibé, Louopou Lamah est revenue sur la volonté de la transition qui a mis au premier plan, l’éducation au cœur de ses préoccupations.

« Tous les moyens ont été mis à la disposition du ministre de l’Enseignement pré-universitaire et de l’alphabétisation afin que ces examens puisent se dérouler dans les meilleures conditions. Ce matin, nous avons constaté tout le dispositif sur place ici à Dixinn. On a la présence des policiers, des gendarmes et le corps enseignant. On a vis sur le visage des élèves autour du mât, qu’ils ne manquent vraiment pas de sérénité. C’est pourquoi nous n’avons pas manqué des messages aux enseignants et des messages de souhait de plein succès aux différents candidats », a confié la ministre.

Devant les membres du gouvernement et médias, le Directeur Communal de l’Éducation de Dixinn a signifié que c’est une fierté de recevoir trois (3) ministres dans notre centre pour le lancement de cet examen. Mamady Konaté est revenu sur toutes les commodités et le sérieux qui caractérisent ce concours devant permettre aux heureux de changer les casquettes.

« Nous avons pris toutes les dispositions avec l’accompagnement du Gouvernement, c’est-à-dire tout ce qu’il faut pour que les enfants soient bien évalués est sur le terrain. Il y a la gendarmerie, la police et les enfants sont dans les normes. Nous avons deux surveillants par salle, un délégué, un chef de centre et un secrétaire. Quant à la consigne, elle reste la même, c’est-à-dire tolérance zéro. Les caméras de surveillance sont installées et le ministre peut rester à l’intérieur pour savoir tout ce qui passe dans les centres », a-t-il indiqué.

Il faut noter qu’au plan national, ce sont 183.332 candidats dont 79.234 filles qui  doivent affronter ces épreuves au compte de cette année.

Sâa Robert Koundouno

(+224) 620-546-653

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